Tribunes 2013/2014
- Tribune - Avril - Mai 2014 / Préparons l'avenir
- 14 février 2014 / Les Compiégnois ont le droit à la vérité sur la gestion de la ville
- Février 2014 / Les dérapages horribles du Sénateur UMP Philippe Marini
- Jeudi 3 octobre 2013 / Quand une élue de Compiègne s'oppose au débat démocratique ...
- Tribune - Septembre 2013 / C'est la rentrée !
Tribune - Avril - Mai 2014 / Préparons l'avenir
La page des élections municipales est tournée.
Merci aux électeurs de la liste Compiègne gagnante !
Merci à l'équipe qui a fait campagne avec sincérité, simplicité et conviction.
Félicitations à l'équipe victorieuse.
Le contexte national, et la très forte abstention locale (48%) ne nous auront pas permis la victoire.
Le choix que nous avons fait de proposer la relève et l'expérience était un choix courageux.
Notre opposition sera constructive et responsable. Nous ne manquerons jamais de proposer les solutions alternatives que vous êtes en droit d’attendre. Le travail sur les dossiers, le sérieux de nos propositions guideront à chaque fois notre action.
Nos équipes ont toujours eu cet état d’esprit et ont à chaque fois prouvé leur implication.
L’espace qui nous est proposé dans le magazine « CNV » est aujourd’hui moins important. Cela ne nous empêchera aucunement de poursuivre nos missions pour informer, expliquer, proposer et convaincre.
Nous sommes d'ores et déjà aux côtés de tous les Compiégnois pour défendre la démocratie locale et dire inlassablement la vérité sur les dossiers qui méritent une analyse sans dissimulation et pour inciter la municipalité à gérer de façon saine nos deniers publics.
Nous connaissons vos inquiétudes au sujet de la gestion de la ville. Après le 0/20 décerné par le journal économique « Les Echos », le magazine économique « Capital » a encore récemment confirmé les résultats catastrophiques concernant la gestion de l’équipe « Marini ». Nous n’oublierons pas qu’entre 2007 et 2012, l’évolution de l'endettement a été + 58%, les dépenses de fonctionnement de + 20%, la taxe d'habitation par habitant de + 50,8% (353 euros), la taxe du foncier bâti par habitant de + 22,6% (326 euros). Nous inciterons la municipalité à gérer sérieusement notre ville.
Une forte cohésion sociale est nécessaire pour Compiègne. Nous dénoncerons régulièrement les excès qui consistent à dévaloriser l’image de Compiègne par des prises de position éloignées des considérations humanistes nécessaires.
La majorité municipale vient déjà de s’entredéchirer en nommant ses adjoints, et ce signe nous invite à réclamer une mobilisation totale pour notre belle cité.
Nous sommes résolument tournés vers l'avenir pour proposer et construire sous le signe du progrès, de la justice sociale, de la solidarité, du dynamisme et de la modération.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON
Conseillers municipaux socialistes et écologiste
Merci aux électeurs de la liste Compiègne gagnante !
Merci à l'équipe qui a fait campagne avec sincérité, simplicité et conviction.
Félicitations à l'équipe victorieuse.
Le contexte national, et la très forte abstention locale (48%) ne nous auront pas permis la victoire.
Le choix que nous avons fait de proposer la relève et l'expérience était un choix courageux.
Notre opposition sera constructive et responsable. Nous ne manquerons jamais de proposer les solutions alternatives que vous êtes en droit d’attendre. Le travail sur les dossiers, le sérieux de nos propositions guideront à chaque fois notre action.
Nos équipes ont toujours eu cet état d’esprit et ont à chaque fois prouvé leur implication.
L’espace qui nous est proposé dans le magazine « CNV » est aujourd’hui moins important. Cela ne nous empêchera aucunement de poursuivre nos missions pour informer, expliquer, proposer et convaincre.
Nous sommes d'ores et déjà aux côtés de tous les Compiégnois pour défendre la démocratie locale et dire inlassablement la vérité sur les dossiers qui méritent une analyse sans dissimulation et pour inciter la municipalité à gérer de façon saine nos deniers publics.
Nous connaissons vos inquiétudes au sujet de la gestion de la ville. Après le 0/20 décerné par le journal économique « Les Echos », le magazine économique « Capital » a encore récemment confirmé les résultats catastrophiques concernant la gestion de l’équipe « Marini ». Nous n’oublierons pas qu’entre 2007 et 2012, l’évolution de l'endettement a été + 58%, les dépenses de fonctionnement de + 20%, la taxe d'habitation par habitant de + 50,8% (353 euros), la taxe du foncier bâti par habitant de + 22,6% (326 euros). Nous inciterons la municipalité à gérer sérieusement notre ville.
Une forte cohésion sociale est nécessaire pour Compiègne. Nous dénoncerons régulièrement les excès qui consistent à dévaloriser l’image de Compiègne par des prises de position éloignées des considérations humanistes nécessaires.
La majorité municipale vient déjà de s’entredéchirer en nommant ses adjoints, et ce signe nous invite à réclamer une mobilisation totale pour notre belle cité.
Nous sommes résolument tournés vers l'avenir pour proposer et construire sous le signe du progrès, de la justice sociale, de la solidarité, du dynamisme et de la modération.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON
Conseillers municipaux socialistes et écologiste
14 février 2014 / Les Compiégnois ont le droit à la vérité sur la gestion de la ville
A Compiègne, le Sénateur-Maire se croyait infaillible !
Il est rattrapé par la vérité des chiffres ...
À Paris, il donne des leçons de rigueur.
A Compiègne, il en reçoit de la chambre régionale des comptes qui épingle une gestion qui débouche souvent sur la mise sous tutelle des villes autant surendettées ...
A Paris, il distribue des mauvaises notes.
A Compiègne, il récolte un 0/20 de la part de la presse économique qui note la gestion des villes françaises (Les Echos).
Inutile de s’en prendre si violemment au PS et ses partenaires.
Personne d’autre que l’équipe en place depuis presque 30 ans n’est responsable :
- d'une durée d’endettement de 22,5 ans, alors que dans l’immense majorité des villes comparables, elle est inférieure à 10 ans.
- d'une capacité d’autofinancement négative (-17,94€), ce qui signifie qu’il faut emprunter pour rembourser les dettes de la cavalerie !
Cette situation financière est une exception parmi les 35 000 communes qui font la France.
Les promesses du Sénateur-Maire UMP de ne pas augmenter les impôts ne sont pas tenables.
L’équipe municipale sortante, c’est juste un beau parleur qui vous invite au restaurant mais qui est interdit bancaire, et vous raconte qu’il a oublié son porte-monnaie au moment de payer l’addition !!
Parti Socialiste de Compiègne
Il est rattrapé par la vérité des chiffres ...
À Paris, il donne des leçons de rigueur.
A Compiègne, il en reçoit de la chambre régionale des comptes qui épingle une gestion qui débouche souvent sur la mise sous tutelle des villes autant surendettées ...
A Paris, il distribue des mauvaises notes.
A Compiègne, il récolte un 0/20 de la part de la presse économique qui note la gestion des villes françaises (Les Echos).
Inutile de s’en prendre si violemment au PS et ses partenaires.
Personne d’autre que l’équipe en place depuis presque 30 ans n’est responsable :
- d'une durée d’endettement de 22,5 ans, alors que dans l’immense majorité des villes comparables, elle est inférieure à 10 ans.
- d'une capacité d’autofinancement négative (-17,94€), ce qui signifie qu’il faut emprunter pour rembourser les dettes de la cavalerie !
Cette situation financière est une exception parmi les 35 000 communes qui font la France.
Les promesses du Sénateur-Maire UMP de ne pas augmenter les impôts ne sont pas tenables.
L’équipe municipale sortante, c’est juste un beau parleur qui vous invite au restaurant mais qui est interdit bancaire, et vous raconte qu’il a oublié son porte-monnaie au moment de payer l’addition !!
Parti Socialiste de Compiègne
Février 2014 / Les dérapages horribles du Sénateur UMP Philippe Marini
Le PS de Compiègne condamne fermement les propos inconsidérés, choquants et horribles du Sénateur UMP Philippe Marini consistant à regretter le régime Kadhafi.
Le drame des naufragés de Lampedusa ne saurait justifier un seul instant d'autres propos que ceux pouvant incarner une approche humaniste.
Le Sénateur après sa très haute bienveillance en direction du dictateur syrien Bachar El Assad, nous livre une fois de plus la preuve d'une vision hasardeuse et éloignée de l'approche digne que l'on est en droit d'attendre de tout responsable politique.
Nous demandons solennellement aux responsables de l'UMP de se désolidariser d'une telle vision, et de condamner ces propos outranciers.
Richard VALENTE,
Secrétaire de section
Parti Socialiste de Compiègne
www.pscompiegne.fr
06.29.75.78.68
Le drame des naufragés de Lampedusa ne saurait justifier un seul instant d'autres propos que ceux pouvant incarner une approche humaniste.
Le Sénateur après sa très haute bienveillance en direction du dictateur syrien Bachar El Assad, nous livre une fois de plus la preuve d'une vision hasardeuse et éloignée de l'approche digne que l'on est en droit d'attendre de tout responsable politique.
Nous demandons solennellement aux responsables de l'UMP de se désolidariser d'une telle vision, et de condamner ces propos outranciers.
Richard VALENTE,
Secrétaire de section
Parti Socialiste de Compiègne
www.pscompiegne.fr
06.29.75.78.68
Jeudi 3 octobre 2013 / Quand une élue de Compiègne s'oppose au débat démocratique ...
L'association AGORA 21 a organisé mercredi 2 octobre un débat de grande qualité sur la famille recomposée, avec Claire Brisset, Défenseure des enfants, Gérard Contremoulin et Erwan Binet, Député.
Une délégation se réclamant de "La Manif Pour Tous", emmenée par Madame Arielle François, 10ème Adjointe au Maire de Compiègne, membre des instances départementales de l'UDI, a tenté en vain d'empêcher le débat démocratique, et l'a fortement perturbé par des cris et vociférations.
Les socialistes et progressistes compiégnois ne peuvent que s'insurger devant une telle attitude qui consiste à priver la Démocratie de moments d'échanges et de débats pourtant indispensables à son bon fonctionnement.
Ils apportent leur soutien réitéré à l'association Agora 21 pour la qualité des débats organisés dans le compiégnois depuis des années.
Ils interpellent M le Sénateur Marini, Maire de Compiègne, ainsi que M Bernard Hellal, Président départemental de l'UDI, quant à l'attitude de Madame François, qui par ailleurs exprime quelques propos haineux et amitiés extrémistes sur les réseaux sociaux depuis quelques mois, citant des personnages peu recommandables et n'hésitant pas à conseiller la consultation de sites de droite extrême.
Le Parti Socialiste de Compiègne
Contact :
Richard VALENTE,
Secrétaire de section
Parti Socialiste de Compiègne
Une délégation se réclamant de "La Manif Pour Tous", emmenée par Madame Arielle François, 10ème Adjointe au Maire de Compiègne, membre des instances départementales de l'UDI, a tenté en vain d'empêcher le débat démocratique, et l'a fortement perturbé par des cris et vociférations.
Les socialistes et progressistes compiégnois ne peuvent que s'insurger devant une telle attitude qui consiste à priver la Démocratie de moments d'échanges et de débats pourtant indispensables à son bon fonctionnement.
Ils apportent leur soutien réitéré à l'association Agora 21 pour la qualité des débats organisés dans le compiégnois depuis des années.
Ils interpellent M le Sénateur Marini, Maire de Compiègne, ainsi que M Bernard Hellal, Président départemental de l'UDI, quant à l'attitude de Madame François, qui par ailleurs exprime quelques propos haineux et amitiés extrémistes sur les réseaux sociaux depuis quelques mois, citant des personnages peu recommandables et n'hésitant pas à conseiller la consultation de sites de droite extrême.
Le Parti Socialiste de Compiègne
Contact :
Richard VALENTE,
Secrétaire de section
Parti Socialiste de Compiègne
Tribune - Septembre 2013 / C'est la rentrée !
Tribune - Septembre 2013
En ces temps de rentrée des classes, ce thème prend toute son importance. Nous n’avons cesse d’alerter le maire pour qui “tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes” sur cet enjeu. En réalité, c’est trop de temps perdu à cause d’un manque de volonté et d’ambition pour la ville pour ce thème essentiel du cadre de vie. Compiègne aime à vanter son cadre de vie forestier, ses universités (UTC, ESCOM), ses grands projets intercommunaux de développement, sa participation au développement durable mais néglige de prendre en compte des réalités bien quotidiennes
concernant les déplacements pour chacune et chacun. A Compiègne, on investit dans le cheval mais pas dans le vélo. Philippe Marini use plus de sa réserve parlementaire pour construire des box à chevaux que pour
offrir des circulations piétonnes et à vélo agréables et sécurisées.
Citons quelques exemples :
- Le quartier de la Gare abandonné depuis des lustres est difficilement accessible en vélo et dangereux à pied… taxis, bus intercommunaux, bus départementaux, stationnement des véhicules se côtoient dans une
joyeuse pagaille que ceux qui prennent le train quotidiennement connaissent bien. Il y a urgence à répondre à l’attente des usagers (demande que nous formulons sans cesse au Conseil Municipal) pour une accessibilité piétonne et cycliste sécurisée, un accueil pour le stationnement des vélos, un passage sans danger sur le pont
Solférino et un vrai quartier de gare comme le font bon nombre de villes en France.
- La vitesse excessive dans la ville est source de pollution sonore, d’émission de polluants, de danger pour tous. Nous réclamons depuis longtemps, la limitation à 50 Km heure (70 km/h aujourd’hui) sur la RD 200 en agglomération et la pénétrante qui déroge au code de la route et qui concerne les rues des Frères Gréban, l’avenue du Général Weygand, la rue Clément Bayard, l’avenue de Bury ST Edmunds, l’Avenue Pierre et Marie Curie et l’avenue Marcellin Berthelot…. Cet axe qui traverse et coupe des quartiers d’habitation dense, des équipements sportifs, des établissements scolaires, devrait être sécurisé davantage et doté d’une piste de circulations douces en relation avec le centre ville et la gare.
- Compiègne concentre ses équipements scolaires entre la cité Technique, Notre Dame de La Tilloye, le Lycée Pierre d’Ailly, l’institution Guynemer, le collège Monod, l’institution Sevigné, le collège Ferdinad Bac
et les différentes écoles primaires publiques ou privées…Nous demandons la mise en sécurisation de cet ensemble en zone 30 avec aménagements conséquents et l’obligation de pistes cyclables desservant les établissements solaires, ce qui implique un nouveau plan de circulation pour ces quartiers, il y va de l’intérêt des enfants et des parents.
- À Compiègne, les pistes cyclables ont un parfum électoraliste ; on en réalise des bouts avant les élections sans vision globale, elles ne sont pas connectées entre elles donc peu efficaces… Quant aux bandes cyclables (ex de l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny) pas assez larges et pas entretenues ou alors peu larges et inondées en cas de pluie comme rue Eugénie Louis, elles sont peu utilisées…La gauche a produit en 2001 une proposition de schéma des pistes cyclables de la ville et le rappelle en conseil municipal.
Pourquoi le maire n’écoute t’il pas nos propositions constructives ?
- Comme beaucoup de villes moyennes de France, Compiègne doit faire le choix d’une ville qui privilégie les circulations douces sur les déplacements automobiles pour la sécurité de toutes et tous et mettre en place
un plan de déplacement urbain avec ses communes périphériques pour donner à notre cité une vraie dimension du développement durable.
Frédéric Pysson, Solange Dumay, Olivier Koval, Anne Serret, Michel Fumagalli, Théodora Goma-Ballou, Jean-Marc Iskin
En ces temps de rentrée des classes, ce thème prend toute son importance. Nous n’avons cesse d’alerter le maire pour qui “tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes” sur cet enjeu. En réalité, c’est trop de temps perdu à cause d’un manque de volonté et d’ambition pour la ville pour ce thème essentiel du cadre de vie. Compiègne aime à vanter son cadre de vie forestier, ses universités (UTC, ESCOM), ses grands projets intercommunaux de développement, sa participation au développement durable mais néglige de prendre en compte des réalités bien quotidiennes
concernant les déplacements pour chacune et chacun. A Compiègne, on investit dans le cheval mais pas dans le vélo. Philippe Marini use plus de sa réserve parlementaire pour construire des box à chevaux que pour
offrir des circulations piétonnes et à vélo agréables et sécurisées.
Citons quelques exemples :
- Le quartier de la Gare abandonné depuis des lustres est difficilement accessible en vélo et dangereux à pied… taxis, bus intercommunaux, bus départementaux, stationnement des véhicules se côtoient dans une
joyeuse pagaille que ceux qui prennent le train quotidiennement connaissent bien. Il y a urgence à répondre à l’attente des usagers (demande que nous formulons sans cesse au Conseil Municipal) pour une accessibilité piétonne et cycliste sécurisée, un accueil pour le stationnement des vélos, un passage sans danger sur le pont
Solférino et un vrai quartier de gare comme le font bon nombre de villes en France.
- La vitesse excessive dans la ville est source de pollution sonore, d’émission de polluants, de danger pour tous. Nous réclamons depuis longtemps, la limitation à 50 Km heure (70 km/h aujourd’hui) sur la RD 200 en agglomération et la pénétrante qui déroge au code de la route et qui concerne les rues des Frères Gréban, l’avenue du Général Weygand, la rue Clément Bayard, l’avenue de Bury ST Edmunds, l’Avenue Pierre et Marie Curie et l’avenue Marcellin Berthelot…. Cet axe qui traverse et coupe des quartiers d’habitation dense, des équipements sportifs, des établissements scolaires, devrait être sécurisé davantage et doté d’une piste de circulations douces en relation avec le centre ville et la gare.
- Compiègne concentre ses équipements scolaires entre la cité Technique, Notre Dame de La Tilloye, le Lycée Pierre d’Ailly, l’institution Guynemer, le collège Monod, l’institution Sevigné, le collège Ferdinad Bac
et les différentes écoles primaires publiques ou privées…Nous demandons la mise en sécurisation de cet ensemble en zone 30 avec aménagements conséquents et l’obligation de pistes cyclables desservant les établissements solaires, ce qui implique un nouveau plan de circulation pour ces quartiers, il y va de l’intérêt des enfants et des parents.
- À Compiègne, les pistes cyclables ont un parfum électoraliste ; on en réalise des bouts avant les élections sans vision globale, elles ne sont pas connectées entre elles donc peu efficaces… Quant aux bandes cyclables (ex de l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny) pas assez larges et pas entretenues ou alors peu larges et inondées en cas de pluie comme rue Eugénie Louis, elles sont peu utilisées…La gauche a produit en 2001 une proposition de schéma des pistes cyclables de la ville et le rappelle en conseil municipal.
Pourquoi le maire n’écoute t’il pas nos propositions constructives ?
- Comme beaucoup de villes moyennes de France, Compiègne doit faire le choix d’une ville qui privilégie les circulations douces sur les déplacements automobiles pour la sécurité de toutes et tous et mettre en place
un plan de déplacement urbain avec ses communes périphériques pour donner à notre cité une vraie dimension du développement durable.
Frédéric Pysson, Solange Dumay, Olivier Koval, Anne Serret, Michel Fumagalli, Théodora Goma-Ballou, Jean-Marc Iskin